Les radicaux libres et le stress oxydatif:
Qui dit respiration dit production de radicaux libre et donc vieillissement de l'organisme. On n'y peut rien, c'est comme ça: la vie entraîne la mort après un certain laps de temps de respiration...
Pour faire simple, un radical est un atome ou une molécule qui a gagné ou perdu un électron. La présence d'un électron célibataire - non apparié - induit un dérèglements de son champ magnétique et confère à ces radicaux une grande instabilité.
Dans le cas de la respiration, la molécule de dioxygène gagne un électron et, avec un tel nombre impair, devient un radical superoxyde instable cherchant par tous les moyens à capter ou à céder un électron avec une autre molécule, la déséquilibrant à son tour. On parle alors de "radical libre".
La création de radicaux libres est naturelle pour tout organisme vivant en aérobie puisque toutes les réactions chimiques utilisent l'oxygène qui, contrairement à son nom, n'est donc pas acidifiant mais oxydant. Via l'oxygène, l'organisme vit et rouille progressivement, à l'instar du métal abandonné à l'air libre...
La nature fait toutefois bien les choses et notre organisme dispose de toute une panoplie d'antioxydants afin de lutter contre le phénomène : certains sont produits par l'organisme (enzymes, glutathion réduit, acide urique, acide lipoïque, ferritine,...) mais d'autres (vitamine E, vitamine C, caroténoïdes, polyphénols,...) proviennent de notre alimentation non industrielle, riche en légumes et en fruits frais (de couleurs variés), en huiles végétales biologiques et poissons gras (Omégas 3) et autres thés vert...
L'eau hydrogénée offre désormais un autre angle d'attaque avec des capacités anti-oxydantes équivalentes voire supérieurs aux meilleurs aliments de la vitalité!
Et nous avons bien besoin parce que notre hygiène de vie délétère à base de pollutions intérieures et extérieures, de malbouffe, de barbecue (viande carbonisée), d'exposition prolongée au soleil (rayons UV), de produits industriels chargés en nanoparticules, de médicaments allopathiques, de sport intensif (au contraire du sport modéré) ou de sédentarité, d'interventions chirurgicales et de stress - sans parler de l'alcoolisme ou du tabagisme - a malheureusement tendance à multiplier les radicaux libres.
Cette surproduction de radicaux libres par rapport à nos défenses est communément appelée stress oxydant ou stress oxydatif. Les radicaux libres vont peroxyder les lipides insaturés qui composent les structures membranaires de la cellule avec le risque de provoquer des lésions au niveau de l'ADN des cellules voire de les tuer. L'organisme doit alors la remplacer en activant ses cellules souches, risque de cancérisation et de vieillissement accéléré de l'organisme à la clé, les cellules souches ne pouvant éternellement se multiplier (limite de Hayflick selon laquelle les cellules ne peuvent se diviser qu'une cinquantaine de fois avant de mourir).
Au final, avec le temps, nos défenses s'affaiblissent et les radicaux oxygénés libres (de faire ce qu'ils veulent) attaquent les membranes des cellules de la peau et dégradent le collagène. Des rides et des tâches apparaissent. Pour le respect de sa peau, voir la douche géothermale.
Le lien entre radicaux libres et le vieillissement fut proposé par le chimiste, biologiste et médecin gérontologue américain Denham Harman dès 1956. Il travailla ensuite sur les antioxydants (vitamines C, E, bêta carotène) et leur rôle dans la prévention de certaines maladies du cœur et des cancers.
Les radicaux libres sont également impliqués dans de nombreuses maladies telles que la cataracte, l’arthrite, les maladies cardio-vasculaires, les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson) ou les cancers. Toute maladie chronique entrainera en outre la surproduction de radicaux libres, ne serait-ce que via la fatigue et le stress induits ou la prise de médicaments allopathiques, fragilisant toujours davantage notre système immunitaire...
Il ne s'agit toutefois pas d'une fatalité. Le Dr. Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912, réussit ainsi à faire vivre in vitro un cœur de poulet dans un liquide nutritif sur plusieurs décennies (entre 28 et 37 ans) alors que l'espérance de vie d'une poule n'est que de 5 ans... « La cellule est immortelle. Seul le liquide qui se trouve à l'intérieur de la cellule est soumis à des processus dégénératifs. » déclara-t-il ou encore « une cellule bien hydratée, bien nourrie, bien débarrassée de ses déchets se renouvelle perpétuellement », suggérant la possible immortalité des organismes...
Cette expérience n'a jamais pu être reproduite et a été critiquée (comme toute expérience qui sort des clous ou heurte le dogme) mais il est clair que l'environnement extra-cellulaire est primordial et en premier lieu la qualité de l'eau: « La condition pour une cellule éternelle réside dans le renouvellement régulier de ce liquide extracellulaire. La «vie éternelle» ne peut pas être assurée par n'importe quelle eau. La différence entre un liquide de cellule biologiquement actif et de l'eau classique repose dans leur structure physique, c'est-à-dire dans l'agencement de ses molécules (géométrie). Une telle perturbation est associée à des maladies.» (Dr. Alexis Carrel)
Une eau correctement filtrée et hydrogénée sera biologiquement très active, antioxydante et facilement assimilable. Est-il dès lors étonnant qu'elle présente de multiples bienfaits ?